L’Autorité des marchés financiers (AMF), l’autorité de surveillance des marchés financiers français, a annoncé avoir durci ses « critères de fond » pour l’agrément des fournisseurs de services d’actifs numériques (DASP).
Selon l’AMF, les DASP doivent obligatoirement utiliser un langage compréhensible par tous les clients français dans leurs supports marketing.
Cette exigence linguistique s’applique également à la communication des fournisseurs lors du traitement des plaintes des clients français, a déclaré le régulateur.
Cette nouvelle règle fait partie de la mise à jour que le superviseur du marché vient d’apporter à sa politique sur le régime des fournisseurs de services d’actifs numériques.
Cependant, il a souligné que la politique, dont le nom de code est Position AMF DOC-2020-O7, reste un travail en cours et peut-être mis à jour régulièrement, en fonction des problèmes soulevés par les parties prenantes.
L’AMF a déclaré avoir procédé à la révision de la politique pour refléter les changements dans les produits et les modèles commerciaux des acteurs de l’industrie des actifs numériques du pays.
« Certaines dispositions ont été clarifiées, tandis que celles devenues obsolètes ont été supprimées », indique l’AMF dans un communiqué publié vendredi.
Autres modifications de la politique
Dans la version révisée de la politique, l’AMF a souligné la nécessité pour les entreprises qui souhaitent s’enregistrer en tant que DASP de s’assurer que les actifs qu’elles proposent sont bien des actifs numériques.
Le régulateur a ajouté que la politique insiste également sur la nécessité pour les fournisseurs de surveiller la nature des actifs numériques qu’ils proposent en tant que services aussi longtemps que leurs offres sont en vigueur.
L’AMF indique également que la section de la politique qui répond aux questions sur la commercialisation est complétée.
L’objectif, a-t-il ajouté, est de clarifier le concept de marketing promotionnel qui permet de localiser un service d’actifs numériques en France.
« L’AMF indique également que l’utilisation d’une interface de programmation d’application (API) n’exclut pas la qualification du service de conservation des actifs numériques ou d’autres services d’actifs numériques. Les services doivent être analysés au cas par cas », a-t-il également expliqué dans le communiqué.
De plus, le régulateur a déclaré avoir ajouté une nouvelle question à la politique.
Cette question, a-t-il déclaré, clarifie la mesure dans laquelle les services peuvent être fournis lorsque les DASP permettent à leurs clients de participer au jalonnement ou au prêt cryptographique.
« Enfin, les questions relatives aux dispositions transitoires ou aux dispositions en vigueur avant le 1er mai 2021 ont été supprimées car elles sont désormais obsolètes », a ajouté l’AMF.
L’Autorité des marchés financiers (AMF), l’autorité de surveillance des marchés financiers français, a annoncé avoir durci ses « critères de fond » pour l’agrément des fournisseurs de services d’actifs numériques (DASP).
Selon l’AMF, les DASP doivent obligatoirement utiliser un langage compréhensible par tous les clients français dans leurs supports marketing.
Cette exigence linguistique s’applique également à la communication des fournisseurs lors du traitement des plaintes des clients français, a déclaré le régulateur.
Cette nouvelle règle fait partie de la mise à jour que le superviseur du marché vient d’apporter à sa politique sur le régime des fournisseurs de services d’actifs numériques.
Cependant, il a souligné que la politique, dont le nom de code est Position AMF DOC-2020-O7, reste un travail en cours et peut-être mis à jour régulièrement, en fonction des problèmes soulevés par les parties prenantes.
L’AMF a déclaré avoir procédé à la révision de la politique pour refléter les changements dans les produits et les modèles commerciaux des acteurs de l’industrie des actifs numériques du pays.
« Certaines dispositions ont été clarifiées, tandis que celles devenues obsolètes ont été supprimées », indique l’AMF dans un communiqué publié vendredi.
Autres modifications de la politique
Dans la version révisée de la politique, l’AMF a souligné la nécessité pour les entreprises qui souhaitent s’enregistrer en tant que DASP de s’assurer que les actifs qu’elles proposent sont bien des actifs numériques.
Le régulateur a ajouté que la politique insiste également sur la nécessité pour les fournisseurs de surveiller la nature des actifs numériques qu’ils proposent en tant que services aussi longtemps que leurs offres sont en vigueur.
L’AMF indique également que la section de la politique qui répond aux questions sur la commercialisation est complétée.
L’objectif, a-t-il ajouté, est de clarifier le concept de marketing promotionnel qui permet de localiser un service d’actifs numériques en France.
« L’AMF indique également que l’utilisation d’une interface de programmation d’application (API) n’exclut pas la qualification du service de conservation des actifs numériques ou d’autres services d’actifs numériques. Les services doivent être analysés au cas par cas », a-t-il également expliqué dans le communiqué.
De plus, le régulateur a déclaré avoir ajouté une nouvelle question à la politique.
Cette question, a-t-il déclaré, clarifie la mesure dans laquelle les services peuvent être fournis lorsque les DASP permettent à leurs clients de participer au jalonnement ou au prêt cryptographique.
« Enfin, les questions relatives aux dispositions transitoires ou aux dispositions en vigueur avant le 1er mai 2021 ont été supprimées car elles sont désormais obsolètes », a ajouté l’AMF.
Source www.financemagnates.com